Li Matou , un missionnaire chrétien en immersion totale dans la marée chinoise du 16e siècle .

Publié le par Anton Caraffa

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 Matteo  Ricci,italien né à  Macerata en 1552,est devenu Li Pahou, chinois par le mérite des mots

Scientifique du moment ,émissaire de  la parole de la  charité chrétienne ,cet italien  qui fut le contemporain de HenriIV fut le « premier » étranger à s’être totalement plongé dans l’univers chinois, sa langue, son écriture, son histoire, sa culture et peut-être plus que tout, dans l’âme de son peuple.

D’emblée en arrivant en Chine, Matteo Ricci avait compris qu’il fallait y adopter une approche spécifique pour y partager l’Évangile. Le monde de cette Chine était un monde sans dieu de révélation visant à ordonner la majeure partie des noms en images même d ans leur écriture.

Le mérite de Li Matou a été d e donner à sa mission le rôle de sage des sciences .

Les mots et les images sont encore les modalités de changements allant des chiffres romains aux chiffres paritaires de la Bourse .

Mais les mots sont devenus des maux sur le chemin de pure parité entre la population chinoise et périple du retour à la Chine des artistes de génie comme le fut Bada Shanren (aussi connu comme Zhu Da Chu Ta )

Le monument le plus représentatif de la tradition du moyen âge de l ' Italie fut le bucentaure que probablement Li Matou eut comme moyen de locomotion pour aller jusqu ' e n Chine , il aura fallu quatre cent ans pour générer le mot bucentaure en " bu cent or " qui est le sang de plus d' un milliards de chinois abordant le 21e siècle sans avoir le moindre sou en or.

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Publié dans CHINE

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